A tous ces écrivains lourds, ennuyeux, prétentieux et pénétrés de leur importance qui forment les "grosses pointures" du XXème siècle habituellement reconnues dans le monde des lettrés (tels le soporifique Claudel, le poussiéreux Valéry, le pédant Malraux, le prosaïque Sartre), je préfère l'humble et délicat Daudet père, plus léger, plus digeste, chantre de la fantaisie, du pittoresque, de la joie simple et saine.
Il est plus proche, plus humain, moins universitaire que ces pontifes "panthéonisés". Contrairement à ces austères penseurs et sèches plumes, Daudet était un véritable enchanteur, un vivant oiseau, un authentique poète.
lundi 14 mai 2007
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